J'ai eu 18 ans le mois dernier, je suis jeune mais depuis à peu près 3 ans il m'est arrivé des tas de choses qui ont fait de moi quelqu'un d'autre, j'ai l'impression que l'humain que j'étais il y a quelques années n'a plus rien en commun avec celui que je suis devenu. Il y a eu énormément de changements pour moi, quelques bons mais énormément de mauvais. Je n'ai pas envie de rentrer dans les détails, mais pour être clair c'est comme si j'avais perdu le contrôle de mon destin et que depuis tout ce temps je regarde ma vie à la troisième personne. J'ai l'impression d'avoir trop longtemps joué un rôle, je montrais ce que je n'étais pas, et j'ai fini par me perdre, je ne suis plus moi même... Tout est différent, mes idées, mes croyances, mon environnement, les gens qui partagent mon destin. Je ne m'y retrouve plus, je voulais un autre avenir, d'autres ambitions, une autre mentalité.

J'ai également l'impression d'avoir une autre vision du monde que les autres, les épreuves que j'ai vécu ont noircis mon cœur et mon âme. J'ai un détachement de tout, une froideur mentale face aux choses qui paraissent comme des drames/magnifiques choses pour d'autres, c'est comme si rien ne m'affectais, pourtant je sais que toutes ces choses pourraient avoir des conséquences sur moi et mon futur.

Même si mon message parait déjà long, il y a des tas de choses que je n'ai pas dites, des détails importants, des ressentiments... Il y en a que je n'ai simplement pas envie de partager, d'autres que je n'arrive pas à comprendre, et certaines que je n'arrive même pas à exprimer à l'écrit. Je ne sais pas pourquoi je viens écrire tout ca ici, peut-être que certains rigoleront, m'aideront, et certains n'arriveraient peut-être même pas à comprendre ce que j'essaye de dire. Faites en ce que vous voulez.

Je poste ici car même si je n'ai pas lu grand chose en philosophie, le sujet m'intéresse pour beaucoup de raisons. J'imagine que certains pourraient peut-être m'aider par le biais de connaissances philosophiques

Tu dis que tu avais l'impression de jouer un rôle avant, que tu as perdu le contrôle sur ton destin, que ces choses que tu as vécue t'on désensibilisé et bien je crois que c'est le constat de tout ceux qui reviennent à la "réalité pessimiste" des choses. Je ne peux pas t'aider et je sais que ce n'est pas une dépression.

bravo, tu as decouvert que tu pouvais grandir

une plante qui sort du sol ne s'ennuit pas d'avoir été germe, en outre, qu'elle soit en accord ou non avec le principe de la croissance, ce principe est inevitable.

marc aurele a dit qu'il n'y a pas une seule chose dont la nature pourrait affubler l'homme sans l'y avoir préparé ou prédisposé.

non, ce n'est pas vrai.

en s'appuyant sur la philosophie pour soigner ce genre de maux, de depersonnalisation et autre, on risque bien plus de s'egarer, et donc bien plus d'accroitre le maux qu'autre chose.

ce qui aide avec la depersonnalisation, ce n'est ni la philosophie, ni le therapiste, ni le psy, ni le psychiatre; non, ce qui aide vraiment, avec une efficacité de 90%, c'est d'aller au contact des gens, d'avoir une vie sociale, de parler à ses amis, de les entendre, de faire quelque chose plutot que pourrir dans sa chambre. c'est vraiment ce qui aide et ce qui est le plus proche d'un remede dans ce cas. aucun de ces gens qui dansent au bal parmi les autres n'a ce genre de probleme.

les mecs qui se tournent vers la philosophie pour faire face à ce genre de probleme sont encore plus dans leur petite bulle, encore plus déconnecté du réel dont la philosophie devait leur en depetrer.

la philosophie oui, mais pas à cet usage en particulier.

Le 01 mai 2024 à 19:16:04 :
Tu dis que tu avais l'impression de jouer un rôle avant, que tu as perdu le contrôle sur ton destin, que ces choses que tu as vécue t'on désensibilisé et bien je crois que c'est le constat de tout ceux qui reviennent à la "réalité pessimiste" des choses. Je ne peux pas t'aider et je sais que ce n'est pas une dépression.

Je vois ce que tu veux dire, tu as peut-être raison.

Le 01 mai 2024 à 20:09:40 :

Le 01 mai 2024 à 18:00:27 :
Je poste ici car même si je n'ai pas lu grand chose en philosophie, le sujet m'intéresse pour beaucoup de raisons. J'imagine que certains pourraient peut-être m'aider par le biais de connaissances philosophiques

L'une des façons dont la lecture de la philosophie peut aider à la dépersonnalisation est d'encourager à réfléchir sur la nature du soi. Des philosophes tels que René Descartes et Emmanuel Kant ont beaucoup écrit sur le concept de soi et la nature de la conscience. En explorant ces idées, on peut être en mesure de mieux comprendre son propre sens du soi et de l'identité, ce qui peut être particulièrement utile pour ceux qui luttent contre des sentiments de détachement...

Aussi, ça peut aider à développer son esprit critique et à cultiver un état d'esprit plus rationnel. Le trouble de dépersonnalisation s'accompagne souvent de schémas de pensée déformés et de croyances irrationnelles sur le soi et la réalité... En s'engageant dans des arguments philosophiques et logiques, on peut être en mesure de remettre en question et de recadrer ces schémas de pensée, ce qui permet d'avoir une compréhension plus équilibrée et plus cohérente de soi-même et du monde qui nous entoure.

Ça peut également donner le sentiment d'être liés à quelque chose de plus grand que nous, en somme. De nombreux textes philosophiques explorent les thèmes de l'interconnexion, de l'unité et de l'expérience humaine commune. En se plongeant dans ces idées, on peut être en mesure de transcender nos sentiments d'isolement et de détachement, en trouvant du réconfort dans le fait de savoir que nos luttes ne sont pas uniques et que d'autres ont été confrontés à des questions existentielles similaires tout au long de l'histoire !

Bref, même si n'est pas un remède au trouble de la dépersonnalisation, ça peut certainement être un outil précieux pour y faire face et le comprendre. En explorant des concepts philosophiques complexes, on peut être en mesure d'acquérir de nouvelles connaissances sur la nature du soi, de développer son esprit critique et de trouver un sentiment de connexion et d'appartenance à l'expérience humaine dans son ensemble.

En dehors de la philo, lire sur la psychologie est évidemment une autre bonne approche :

Par exemple, la thérapie cognitivo-comportementale (TCC) est une approche thérapeutique largement utilisée qui s'est avérée efficace dans le traitement de la dépersonnalisation. En lisant sur la TCC et d'autres techniques thérapeutiques, on peut apprendre à remettre en question les pensées et les croyances négatives, à identifier et à modifier les comportements inadaptés et à développer des compétences pour gérer les symptômes pénibles.

En espérant que ça puisse t'aider, ne serait-ce qu'un tout petit peu !

N'abandonne jamais.

Le fait que tu es pris du temps pour m'écrire ce message me touche, merci beaucoup.

J'espère que ca m'aidera, je m'y intéresserai plus en détails demain.

Le 01 mai 2024 à 20:30:19 :
non, ce n'est pas vrai.

en s'appuyant sur la philosophie pour soigner ce genre de maux, de depersonnalisation et autre, on risque bien plus de s'egarer, et donc bien plus d'accroitre le maux qu'autre chose.

ce qui aide avec la depersonnalisation, ce n'est ni la philosophie, ni le therapiste, ni le psy, ni le psychiatre; non, ce qui aide vraiment, avec une efficacité de 90%, c'est d'aller au contact des gens, d'avoir une vie sociale, de parler à ses amis, de les entendre, de faire quelque chose plutot que pourrir dans sa chambre. c'est vraiment ce qui aide et ce qui est le plus proche d'un remede dans ce cas. aucun de ces gens qui dansent au bal parmi les autres n'a ce genre de probleme.

les mecs qui se tournent vers la philosophie pour faire face à ce genre de probleme sont encore plus dans leur petite bulle, encore plus déconnecté du réel dont la philosophie devait leur en depetrer.

la philosophie oui, mais pas à cet usage en particulier.

Le soucis c'est que malgré le mal que je ressens, j'ai une vie sociale très complète. J'ai beaucoup d'amis, une relation amoureuse, les gens m'aiment en général, j'ai l'impression que tous les gens qui partagent mon destin m'aiment, mais moi je ne m'aime pas. Pire, je me déteste même. J'ai fais énormément d'erreurs, j'ai des tas de remords... J'ai fais du mal à tous les gens que j'aime, souvent sans même me rendre compte que mes actes allaient avoir des conséquences si importantes.

Récemment j'ai fais beaucoup de mal à la personne avec qui je suis en couple, je l'aime plus que tout, mais malheureusement je l'ai tellement déçue qu'elle n'arrive plus à croire en moi. Elle est la seule personne qui me donne encore un peu de bonheur dans la vie, elle me motive à avancer et à changer. J'aimerais juste me faire pardonner et qu'elle soit fière de moi, laver mon honneur et l'image que j'ai donné de moi.

Je sais pas trop pourquoi je raconte tout ca honnêtement, personne n'en a rien à foutre mais au moins j'extériorise

Le 02 mai 2024 à 00:26:25 :

Le soucis c'est que malgré le mal que je ressens, j'ai une vie sociale très complète. J'ai beaucoup d'amis, une relation amoureuse, les gens m'aiment en général, j'ai l'impression que tous les gens qui partagent mon destin m'aiment, mais moi je ne m'aime pas. Pire, je me déteste même. J'ai fais énormément d'erreurs, j'ai des tas de remords... J'ai fais du mal à tous les gens que j'aime, souvent sans même me rendre compte que mes actes allaient avoir des conséquences si importantes.

Récemment j'ai fais beaucoup de mal à la personne avec qui je suis en couple, je l'aime plus que tout, mais malheureusement je l'ai tellement déçue qu'elle n'arrive plus à croire en moi. Elle est la seule personne qui me donne encore un peu de bonheur dans la vie, elle me motive à avancer et à changer. J'aimerais juste me faire pardonner et qu'elle soit fière de moi, laver mon honneur et l'image que j'ai donné de moi.

Je sais pas trop pourquoi je raconte tout ca honnêtement, personne n'en a rien à foutre mais au moins j'extériorise

J'ai un genre de complexe de Dieu, mais pas nécessairement dans le sens où il est normalement pensé. J'ai toujours été du genre à devoir me croire infaillible, invincible, parfait même etc.. J'avais une confiance démesuré autrefois. Je croyais toujours avoir raison, surtout durant ma jeunesse, je contestais toujours l'autorité et j'ai fini par échouer à la tâche.

Je vis tout comme toi avec énormément de remords, de fautes, mais j'ai toujours cet "idéal" du moi, comme quoi je me dois d'être meilleur, être irréprochable à l'avenir. Car sans cet idéal, je me complairais dans la médiocrité. C'est bien plus facile de dire, "je suis humain, je fais des erreurs" que de vouloir transcender cette état. On fait tous des erreurs (c'est commun), mais les accepter, se pardonner c'est ce qui a de plus difficile selon moi. Je me couche chaque soir en ressassant le passé (j'aurais dû faire ça différemment ou j'aurais dont dû dire cela, faire ceci etc...). Je me déteste également. Je ne prends plus soin de ma santé en générale, je me laisse aller. Plus on attend, plus la pente est dure à monter.

J'ai été faible et violent même dans ma vie (je ne dis pas que ce fût ton cas). J'aime "m'excuser" en expliquant mes dérives par l'abus d'alcool ou autre perte de contrôle causé par la colère, mais ça n'excuse rien, c'est des prétextes. Ce n'est pas simplement mes actes ou paroles qui pèsent sur ma conscience, parfois même mon inaction me cause des remords.

J'ai arrêté complètement l'alcool depuis des années maintenant et je n'ai plus de problème à gérer ma colère. J'en suis fier, mais je l'ai fait pour les autres et non pour moi, par peur de refaire du mal. L'important quand on prend conscience d'une erreur, c'est de faire tout son possible, aller jusqu'à changer pour éviter qu'elle ne se reproduise. Mais une erreur ne se corrige pas, ça laisse des traces. On ne peut qu'essayer de prouver aux autres par nos actes présents et futurs ce que nous avons apprit. Pour le reste, c'est le pardon et la confiance qui entre en ligne de compte. T'auras beau avoir compris et changé tes comportements, une personne connaissant ton passé, tes erreurs pourrait ne plus vouloir te faire confiance.

Maintenant pour en revenir à ton problème, si tu as besoin de conseils en amour ou pour savoir comment te pardonner à toi même, t'aimer plus, ce n'est pas moi qui t'aidera. Je t'écris parce que ça me fait surement plus de bien à moi que ça ne t'en fera. Ou peut-être y verra tu que tu n'est pas seul ou qu'il y a pire que toi.

Te déteste tu au point de ne plus vouloir te donner ta chance? Je ne crois pas… En réessayant, tu regagneras confiance petit à petit. Je ne connais pas tes erreurs, mais déjà le fait que tu les reconnaisses et les regrettes prouve que tu es meilleur que ça. NE FAIS PAS COMME MOI. J'ai fini par ne plus avoir de vie social et je ne sors presque plus de chez moi tellement j'ai honte et peur d'être juger. Je "filtre" tout les jours mes paroles, mes gestes, mais la seules chose que je ne contrôle pas se sont mes pensés et ces dernières, bien que privées, m'accablent et me torturent.

Tu dis avoir déçu ta copine. Je ne sais pas de quoi il est question, mais il doit y avoir un moyen pour qu'elle puisse ravoir une haute estime de toi. Parle lui et démontre lui ta sincérité. Le temps arrange les choses y parait, mais tu dois vraiment réapprendre à t'aimer et te donner une chance d'abord. Je te souhaite de trouver la force de te pardonner et d'aller de l'avant.

renseigne toi sur l'astrologie, fais un thème astral. tu y trouveras tout tes maux, ainsi que tes qualités à développer

Le 02 mai 2024 à 21:28:03 :
renseigne toi sur l'astrologie, fais un thème astral. tu y trouveras tout tes maux, ainsi que tes qualités à développer

mieux vaut mourir 100 fois si c'est possible que de se lancer dans ce delire de femme idiote

Le 02 mai 2024 à 00:19:23 :

Le 01 mai 2024 à 20:09:40 :

Le 01 mai 2024 à 18:00:27 :
Je poste ici car même si je n'ai pas lu grand chose en philosophie, le sujet m'intéresse pour beaucoup de raisons. J'imagine que certains pourraient peut-être m'aider par le biais de connaissances philosophiques

L'une des façons dont la lecture de la philosophie peut aider à la dépersonnalisation est d'encourager à réfléchir sur la nature du soi. Des philosophes tels que René Descartes et Emmanuel Kant ont beaucoup écrit sur le concept de soi et la nature de la conscience. En explorant ces idées, on peut être en mesure de mieux comprendre son propre sens du soi et de l'identité, ce qui peut être particulièrement utile pour ceux qui luttent contre des sentiments de détachement...

Aussi, ça peut aider à développer son esprit critique et à cultiver un état d'esprit plus rationnel. Le trouble de dépersonnalisation s'accompagne souvent de schémas de pensée déformés et de croyances irrationnelles sur le soi et la réalité... En s'engageant dans des arguments philosophiques et logiques, on peut être en mesure de remettre en question et de recadrer ces schémas de pensée, ce qui permet d'avoir une compréhension plus équilibrée et plus cohérente de soi-même et du monde qui nous entoure.

Ça peut également donner le sentiment d'être liés à quelque chose de plus grand que nous, en somme. De nombreux textes philosophiques explorent les thèmes de l'interconnexion, de l'unité et de l'expérience humaine commune. En se plongeant dans ces idées, on peut être en mesure de transcender nos sentiments d'isolement et de détachement, en trouvant du réconfort dans le fait de savoir que nos luttes ne sont pas uniques et que d'autres ont été confrontés à des questions existentielles similaires tout au long de l'histoire !

Bref, même si n'est pas un remède au trouble de la dépersonnalisation, ça peut certainement être un outil précieux pour y faire face et le comprendre. En explorant des concepts philosophiques complexes, on peut être en mesure d'acquérir de nouvelles connaissances sur la nature du soi, de développer son esprit critique et de trouver un sentiment de connexion et d'appartenance à l'expérience humaine dans son ensemble.

En dehors de la philo, lire sur la psychologie est évidemment une autre bonne approche :

Par exemple, la thérapie cognitivo-comportementale (TCC) est une approche thérapeutique largement utilisée qui s'est avérée efficace dans le traitement de la dépersonnalisation. En lisant sur la TCC et d'autres techniques thérapeutiques, on peut apprendre à remettre en question les pensées et les croyances négatives, à identifier et à modifier les comportements inadaptés et à développer des compétences pour gérer les symptômes pénibles.

En espérant que ça puisse t'aider, ne serait-ce qu'un tout petit peu !

N'abandonne jamais.

Le fait que tu es pris du temps pour m'écrire ce message me touche, merci beaucoup.

J'espère que ca m'aidera, je m'y intéresserai plus en détails demain.

c'est CHAT GPT

Le 02 mai 2024 à 21:28:03 :
renseigne toi sur l'astrologie, fais un thème astral. tu y trouveras tout tes maux, ainsi que tes qualités à développer

+1

mais je sais pas si ça aide vraiment à s'y retrouver. vaut mieux qu'il suive son destin et le vive plutôt que d'essayer de l'analyser

Le 05 mai 2024 à 02:13:59 :

mais je sais pas si ça aide vraiment à s'y retrouver. vaut mieux qu'il suive son destin et le vive plutôt que d'essayer de l'analyser

L'analyse et l'introspection sont deux outils qui permettent d'avancer justement ou du moins, savoir où aller et comment y arriver.

Le 05 mai 2024 à 03:13:50 :

Le 05 mai 2024 à 02:13:59 :

mais je sais pas si ça aide vraiment à s'y retrouver. vaut mieux qu'il suive son destin et le vive plutôt que d'essayer de l'analyser

L'analyse et l'introspection sont deux outils qui permettent d'avancer justement ou du moins, savoir où aller et comment y arriver.

Oui, mais peut-être pas avec l'astrologie. je parle avec ma propre expérience. Après, peut-être que c'est bon pour certaines personnes quand même, je sais pas. en tout cas, ça reste un outil intéressant.

Le 13 mai 2024 à 15:23:12 :

Il m'est arrivé la même chose à 23 ans.

Là tu es comme dans une chrysalide : le papillon commence à se former et c'est un peu douloureux. Mais après tu vas voler .

Je précise aussi, qu'à mon sens, on vit ce que tu vis dans d'autres moments de notre vie qui est un apprentissage permanent.

Donc voilà c'est normal, t'inquiète

La philosophie change le regard.

Le 02 mai 2024 à 21:35:24 :

Le 02 mai 2024 à 21:28:03 :
renseigne toi sur l'astrologie, fais un thème astral. tu y trouveras tout tes maux, ainsi que tes qualités à développer

mieux vaut mourir 100 fois si c'est possible que de se lancer dans ce delire de femme idiote

première noyade par le déluge

c'est comme si j'avais perdu le contrôle de mon destin

Confiance en la vie. De toute façon, on ne controle pas son destin. Tu peux mourir ou devenir aveugle tétraplégique en incontinence urinaire à chaque instant.

Il y a souvent une phase de construction/reconstruction où on dit de prendre son destin en main, de prendre les rênes, mais ça n'existe pas, on ne peut rien avoir en main, on n'a rien en main. C'est une illusion, un mythe. Et d'une certaine manière, on peut toujours avoir un peu ça en tête pour reprendre confiance en soi.

Tiens, la confiance en soi : je te propose de l'empathie, de la compassion et de l'amour de toi même.

Ensuite quand tu t'aimeras, tu ajouteras de la fierté. Fier de soi. Un peu d'arrogance ça fait du bien aussi.

Et enfin je te propose le courage !

Regarde peut-être Dragon Ball. Fais comme les héros dedans, surtout Goku. Il ne lache rien. Il s'entraine tout le temps pour devenir tout le temps meilleur et il est sympa et il est cool. Et il meurt mais il s'entraine toujours, il ressucite mais il s'entraine toujours, il combat toujours mais pour protéger les gens ou agir en bien. Ou dans ce qu'il kiffe : le combat. Voir si c'est lui le meilleur de l'univers et de tous les mondes.

Tu as aussi des bons extraits de film.

Des philosophies très bonnes là-dessus : stoicisme par exemple, clair, net, précis. Mais d'autres. (orientales, occidentales, etc.)

https://youtu.be/DjffIi2Pl7M?si=xlulrPZLl2IDh73S

https://youtu.be/ztABYog5x3o?si=i5hPZ-mjDsCIxA1W

Tiens, Nietzsche c'est bien aussi. Le Gai Savoir.

Tout est différent, mes idées, mes croyances, mon environnement, les gens qui partagent mon destin. Je ne m'y retrouve plus, je voulais un autre avenir, d'autres ambitions, une autre mentalité.

Reviens au corps, reviens au présent. Ne projette rien.

Ne t'identifie à rien, ou pour rire (par exemple tu étudies la philosophie politique et tu remarques que le libéralisme est le plus cohérent et le plus éthiquement juste, donc tu peux vaguement te dire libéral, mais voilà, tu remarques que c'est le moins pire et "plus juste" mais en soi tu n'es pas "libéral". Tu n'es rien.

C'est un enfantillage de s'identifier à quelque chose ou quelqu'un.

Cependant tu es encore jeune, donc ça te déroute peut-être. C'est une grande maturité en fait.

J'ai également l'impression d'avoir une autre vision du monde que les autres, les épreuves que j'ai vécu ont noircis mon cœur et mon âme. J'ai un détachement de tout, une froideur mentale face aux choses qui paraissent comme des drames/magnifiques choses pour d'autres, c'est comme si rien ne m'affectais, pourtant je sais que toutes ces choses pourraient avoir des conséquences sur moi et mon futur.

Et bien, tu m'as l'air éveillé ! Par contre je ne vois pas le rapport avec la noirceur ?